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Je ne t'aime pasMais ... fort, très fort.
Tu es trop loin de moiToujours si loin de moi.
Ma peau aime ta peau à la folie.
Où donc gît le cimetière des papillons?
Je préfère te perdre que de t'oublier.
A la puberté, les jeunes filles attrapent des rougeurs de la tête au slip.
Les amours de quinze ans hésitent encore aux élastiques.
J'ai dans le coeur un manque de toi.
J'aime l'odeur de ton corps qui, à mon corps, se frotte, s'échauffe et s'use entre les murmures de la nuit et les soupirs de l'amour.
La puberté échauffe les esprits autant que les corps.
Les femmes, elles, connaissent le prix d'une vie.
Les femmes sont des proies jetées aux désirs des hommes.
Les femmes aimées sont des femmes humides.
Les hormones donnent du corps aux filles et de la voix aux garçons.
Les amours jeunes sont des amours brèves.
Je vole en toi des instants de bonheur.
L'amour n'a pas de prix, il n'a que des larmes.
Les femmes sont les magiciennes de l'amour.
Les jeunes filles jouent à l'amour quand les jeunes garçons jouent à la guerre.
Les femmes sont des torches qui s'enflamment d'amour.
La poésie est le parfum du coeur.
J'aime à me blottir dans la douceur des amours naissantes.
Des yeux bien trop grands pour si peu de larmes.
Toujours, une bête est en nous prête à bondir.
Il n'est de plus belle qualité qu'un défaut ouvragé.
Il ne peut y avoir de beauté dans une fleur coupée.
L'art est une façon d'être un peu plus que vivant.
Une femme forte, c'est une femme que l'on cache, c'est une femme que l'on baise mais sans s'en vanter.
Insidieusement les autres nous changent peu ou prou.
A toute heure du jourJe veux mais ne peuxA toute heure du songeJe peux mais ne veux